07/07/2010 | Des êtres nouveaux : "les pénitents-moissonneurs"
A partir de la lecture du livre intitulé "La Révélation d'Arès", des hommes et des femmes, scandalisés par la politique, la religion, les institutions, les pouvoirs quels qu'ils soient recommencent à croire qu'un autre être et un autre monde sont désormais possibles.
Ils découvrent ce qu'est la vraie foi : non pas croire pour croire mais croire pour agir sur soi et sur le monde en toute liberté spirituelle. Chacun part de là où il se trouve, avec ses grands et petits moyens. Pourvu que chaque humain qui prononce la Parole issue de ce livre la comprenne et l'accomplisse : c'est ça la vraie piété dans La Révélation d'Arès. Des hommes et des femmes restaurent la vraie vie en eux par les efforts quotidiens d'aimer, pardonner, se libérer des préjugés. Oui, une nouvelle voie s'ouvre par le courage de ces pionniers qui explorent un autre sens au fait d'exister. Ils savent maintenant que Dieu, le Créateur de l'Univers entier, existe et qu'il est revenu parler à un homme à Arès en Gironde, en France. Une nouvelle espérance se développe, l'homme retrouve un sens profondément spirituel à son existence : changer sa vie en bonté et en bien pour son propre bonheur et celui de toute l'humanité. Ceux qui viennent prier (prononcer la Parole du Créateur pour l'accomplir) l'été à Arès s'efforcent d'être des pénitents et durant l'année, ils cherchent d'autres hommes ou femmes capables de faire pénitence (être bon, pardonner, aimer, faire la paix, ne pas juger, se libérer de la culture, vivre en joie et en fête). Ce sont des pénitents moissonneurs de pénitents.
Autre explication de la pénitence par le frère Michel, lui-même, donnée sur son blog "freesoulblog" le 07/07/2010 :
Le Créateur par La Révélation d'Arès appelle à la pénitence,
mais Il ne donne pas du tout à pénitence le sens de remords, punition, châtiment, privation ou austérité, que lui ont donné la religion et la loi.
Il donne à pénitence le sens de joie et fête — ce sont ses mots même (La Révélation d’Arès 30/11).
Être pénitent, c'est aimer, pardonner, faire la paix, être libre de tous préjugés et pouvoirs, chercher l'intelligence spirituelle. Rien d'autre !
Pas besoin de diplômes de philosophie pour comprendre que si l'homme s'impose cette pénitence d'amour, de joie et de liberté, le monde finira par changer en bien.
C'est le message même de l'Évangile de Jésus, le message du christianisme qui n'a jamais été accompli. L'homme n'a besoin ni d'église ni de religion, ni de sacrements ni de bénédictions, il a simplement besoin de pénitence.
Quel Message libérateur !
18:01 | Commentaires (2)
Commentaires
Et la dynamique de cherc[h]er a s'ameliorer de plus en plus est bonne.
Elle est bonne pour soi, pour sa vie mais aussi pour ceux qui nous entourent; ils peuvent en témoigner.
Créer, chercher le meilleur est aussi très bon pour la santé. C'est une vigueur qui réveille un mort !
Écrit par : Bonhomme | 01/08/2010
Oui, Bonhomme. Sans cesse se remettre en question pour avancer dans la vie spirituelle. Si nous nous arrêtions, nous deviendrions comme les religions qui ont fini par se scléroser et dogmatiser leur foi dans des pratiques non insurgeantes, non libératrices et non mobilisatrices. Elles ont perdues la fougue missionnaire et créatrice des premiers juifs, des premiers musulmans, des premiers chrétiens, des premiers bouddhistes probablement et des pèlerins d'Arès.
Écrit par : mc | 23/08/2010