01/11/2012 | Le Bâton de Lumière à Arès n'avait rien d'une baguette magique de fée.
D'après les précisions redonnées dernièrement dans des écrits récents du témoin des manifestations divines d'Arès, le Bâton de Lumière qui se manifesta devant le frère Michel fin 1977 n'avait rien à voir avec le genre baguette magique de la fée comme dans les films de Walt Disney.
"Je serre, Je serre comme le clou." (Révélation d'Arès II/21) dit Dieu à l'unique Témoin des évènements survenus en Gironde, en France, à Arès en 1974 puis en 1977. Apparemment, d'après ce que j'ai compris, la Lumière ne sortait pas du Bâton mais semblait plutôt y entrer. La partie supérieure de ce clou vivant était beaucoup plus lumineuse que le reste. J'y ai représenté la Terre avec ce clou planté au nord du Bassin d'Arcachon qui, sur mon image paraît démesuré, mais en réalité, ne mesurait guère plus d'un mètre de haut et se manifesta à cinq reprises presqu'au centre de la Maison de La Sainte Parole à un mètre au dessus du sol. Voilà pour les faits, ici, sommairement retracés. la tête de ce clou ne reçoit pas le marteau de l'homme mais l'intense Lumière de La Parole du Père de l'Univers révélée à Arès. Autre précision donnée par le frère Michel : toutes les lumières et couleurs, au cours de l'extraordinaire conflagration qui accompagnait les Théophanies étaient froides.
En espérant que cette modeste contribution imagée puisse faire naître le désir au regardeur d'en savoir un peu plus sur La Révélation d'Arès et ce qu'elle apporte au monde et surtout ce qu'il faut accomplir pour le changer et nous avec.
les phrases en gros caractères sont les paroles mêmes du Témoin de La Révélation d'Arès : le frère Michel Potay.
20:32 | Commentaires (15)
Commentaires
Merci, mon frère "mc" pour ces belles images, j'aime beaucoup la Canne de Lumière. Didier
Écrit par : didier | 12/10/2013
Bonjour mon frère Didier,
Je vous remercie aussi pour votre commentaire.
Je vous souhaite beaucoup de courage et de force dans votre moisson : trouver d'autres pénitents pour former un petit reste d'hommes capables de se changer par l'effort quotidien d'être meilleurs et puis agir pour le Bien de l'humanité. Ces hommes d'une trempe exceptionnelle existent, il faut les trouver, il y a urgence... avant que ne pleuve le péché des péchés.
Écrit par : mc | 19/10/2013
Qu'est ce que ça change que la lumière semble rentrer ?
La lumière se condense pour former quoi ?
L'humidité se condense pour former l'eau.
Quelle réponse pouvez vous donner ?
Écrit par : tony | 25/08/2014
Bonjour Tony.
Je ne vous connais pas. Vous me posez les deux questions suivantes : "Qu'est-ce que ça change que la lumière semble rentrer ? La lumière se condense pour former quoi ?"
A vrai dire, je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'espère que cette modeste contribution imagée puisse faire naître le désir au regardeur d'en savoir un peu plus sur La Révélation d'Arès et ce qu'elle apporte au monde et surtout ce qu'il faut accomplir pour le changer et nous avec. Voilà le plus important. Accomplir La Parole, faire le Bien. Devenir BONS !
Voilà mon frère Tony que je ne connais pas, voilà ce que je peux vous écrire.
Avec vous, dans notre changement par la pénitence* et dans le changement du monde en Bien.
Fraternellement.
mc.
* pénitence : être pénitent dans La Révélation d'Arès, c'est simplement aimer, pardonner, ne pas préjuger ni juger, n'avoir aucun pouvoir sur personne, rechercher l'intelligence du cœur. C'est tout.
Écrit par : mc | 09/09/2014
[Bonjour. Voilà un commentaire issu du blog du frère Michel dont voici l'adresse internet] :
http://michelpotayblog.net/215.html/215Ici&maintenant-comments-french.html
13fev20 215C76
Image très significative et bien réalisée, affichée sur ma page facebook par Christian S.
Réponse :
Je ne peux m'empêcher d'afficher sur mon blog cette image que j'ai vue ce matin sur ma page facebook.
Je trouve cette image particulièrement réussie. Je ne sais pas qui l'a réalisée, mais je la trouve tout à la fois on ne peut plus typique de notre Source de foi et d'action qu'est La Révélation d'Arès et remarquablement évocatrice dans sa grande simplicité. Le Père, Qui se manifeste à moi à l'automne 1977 me dit : La bouche d'homme J'entre dedans, Je serre, Je serre comme le clou (Rév d'Arès ii/21) ; Il Se montre très différent de la description que donne de Lui la Bible. Ce n'est pas un grandiose Roi et Juge qui vient à moi dans une nuée, mais un Père qui se réduit à ma dimension humaine, à un clou. En fait ce clou avait la taille d'une canne, d'un bâton de Lumière. J'étais à quelque trois mètres de Lui et Sa Voix était celle d'un humain. C'est dans ces moments que je compris que Celui Qui est le permanent Créateur de l'Espace infini, empli de milliards de milliards d'astres qui disparaissent remplacés aussitôt par d'autres (Rév d'Arès xxii/12-13) est aussi étroitement lié au moindre détail de Sa Création comme l'homme qui n'est qu'un minuscule détail de l'Univers. Le Père peut simultanément étendre ses Mains au-delà de l'Espace sans limites et se réduire à presque rien et se trouver entier, Un, dans l'immensité aussi bien que dans le plus minime espace.
L'image qu'affiche Christian S. évoque l'extraordinaire plasticité dans la nuit de l'Infini de Celui Qui a fait à l'humain l'honneur d'être son image et ressemblance (Genèse 1/26-27). Dieu n'est pas un Personnage en dehors de nous, Il n'est pas un Autre tout en étant le Tout Autre. Ce gros clou devant moi, planté dans le sol comme un bâton, que j'aurais pu toucher, était à la fois moi et Lui. Sa Voix tout à la fois était dans mes entrailles et parlait à mon oreille ; elle venait de moi et d'ailleurs en même temps. C'est une réalité très difficile à faire passer dans l'esprit de nos semblables qui n'ont pas vécu ce que j'ai vécu en 1977. Pas plus que notre langue n'a de mot pour dire "vrai" et "faux", "oui" et "non", "ici" et "là-bas", elle n'a de mots pour expliquer que Dieu est tout à la fois en nous, c.-à-d. nous, et hors de nous. Certains me demandent très émus : "Dieu c'est qui, c'est quoi ?" Je réponds: "C'est toi." Il dit : "Moi ? Mais alors Dieu est mon imagination ?" "Non, parce qu'il est un Autre que toi." "Il est aussi un autre que moi ?" "Pas aussi, mais ensemble... Tu es Dieu et Il est homme ; tu es ici et tu es simultanément, sans le savoir, dans l'infini sans distance, sans fin."
Le discours permanent qui résonne sans arrêter au fond du crâne, de la caverne céphalique, et qui n'est pas volontaire est en fait au fond de l'homme l'écho de l'infini sur quoi le Créateur s'étale (Rév d'Arès ii/4). C'est un reste de quelque chose que l'homme connut en Éden, quelque chose devenu n'importe quoi chez l'humain déchu, le pécheur, mais qui est là, sonore à l'intérieur de la boîte crânienne. L'oreille n'entend pas ces sons, mais la cervelle perçoit ces restes égarés et polyphones du chant des anges, parfois de la Voix Divine. Il nous faut redonner forme et raison à ce murmure incessant et l'amour y apporte déjà une nette amélioration, par mariage avec sa Source. Ce discours involontaire montre que l'homme n'est pas souvent le père ou la mère de ses pensées, qu'il est au centre d'un brouhaha immense qui couvre l'espace infini. Mais c'est un formidable indice de nos origines divines. Ce discours est un Inconnu qui nous appelle, mais très peu, vraiment très peu d'hommes comprennent qu'il s'agit d'un Appel.
[Frère Michel Potay]
Le blogueur s'est permis de recopier quelques commentaires de Frère Michel Potay sur son blog : "michelpotayblog.net" concernant cette image qui avait été copiée à partir de son compte facebook.
Écrit par : [le [blogueur pour] Michel Potay | 17/02/2020
14fev20 215C78 [sur le blog : "michelpotayblog.net"
Bien aimé frère Michel,
L'image que vous avez affichée sur votre blog [215C76] fut apparemment réalisée en 2012 par notre frère Thierry (...).
Je reconnais sa signature en bas à droite.
Avec vous dans la prière,
Bernard ( ) de Lorient, Bretagne-Sud
Juste pour vous dire que l'image que vous avez trouvée sur le blog (215C76) est signée Thierry, je reconnais la signature de notre bien aimé frère ( ) qui fait effectivement de très belles choses.
Daniel ( ) de Bretagne-Sud
Réponse [du frère Michel] :
Merci, mon frère Bernard et mon frère Daniel, de nous révéler le nom de l'auteur de l'image que j'ai affichée en 215C76 : Notre frère Thierry (....) des Côtes d'Armor.
Vous me permettez ainsi de complimenter Thierry ( ) sur une réalisation que je verrais très bien en affiche dans les vitrines de nos missions. Voilà quelque chose qui nous caractérise, qui nous différencie en profondeur du commun des croyants traditionnels et qui ne peut qu'intriguer l'homme ou la femme qui s'arrête dans la rue pour lire les quelques mots dans le haut de cette belle image : Je serre, Je serre comme le clou (Rév d'Arès ii/21). Je pense que certains ne pourront pas ne pas pousser la porte pour venir s'informer de la signification de ces mots. Dieu est tout à la fois le Créateur de l'immensité que suggère la nuit qui forme le fond de l'image et le Père, l'Ami, l'Image et Ressemblance de l'homme face auquel par Amour Il se réduit à la dimension d'une canne, d'un bâton ou d'un bourdon de pèlerin pour lui parler. Cette image évoque l'intimité inaperçue qu'il y a entre le Père et l'Enfant (Rév d'Arès 13/8).
Mes compliments et ma joie, frère Thierry...
Écrit par : [le blogueur pour] Michel Potay | 17/02/2020
17fev20 215C92
Bonjour, frère Michel.
Comme vous l'ont signifié les frères bretons Bernard L. et Daniel R. en 215C78, c'est bien moi l'auteur de l'image du Bâton de Lumière en 215C76. Je tenais à vous remercier pour les compliments que vous me faites et remercier aussi mes deux frères de Lorient qui ont tout de suite reconnu mon travail ainsi que Christian S. (que je ne connais pas) et qui l'a diffusé sur votre Facebook. Je suis heureux d'avoir pu déclencher en vous le besoin de décrire encore de manière différente et non moins profonde la vivante proximité et plasticité du Créateur, le Père de l'Univers [Rév d'Arès 12/4], ce qui éclaire tous mes frères et sœurs.
Je n'ai pas trouvé le temps de vous répondre plus tôt car ces derniers jours ont été plutôt chargés et je profite de ce dimanche, au calme malgré la tempête dehors qui souffle encore.
Cette image "Je serre, Je serre comme le clou" vient de mon petit blog créé le 9 octobre 2005 et comptant à ce jour, quelques 75 illustrations ainsi que 170 commentaires [à ce jour]. Je continue à l'approvisionner régulièrement, bien que lentement, car je ne trouve pas le temps que je souhaiterais pour l'alimenter convenablement et le faire vivre. Je vous donne le lien de la page d'où a été extraite l'image pour la resituer dans son contexte initial : http://mondechange.blogspirit.com/archive/2012/11/01/le-baton-de-lumiere-a-ares-n-avait-rien-d-une-baguette-magiq.html
Vous proposez de l'exposer en vitrine et déjà des frères se sont manifestés pour que je leur fournisse une image de meilleure définition. Hélas, je n'en ai pas et je viens de commencer à travailler sur un format plus grand. Je demande à mes frères de patienter encore quinze jours avant que je n'envoie la nouvelle version la plus fidèle possible à celle que vous, Mikal, avez appréciée. En attendant, mes sœurs et frères peuvent toujours imprimer l'image de base que vous avez affichée en 215C76 ou celle de mon blog.
J'en profite pour faire une proposition à mes frères Bretons s'ils veulent bien m'aider en s'occupant de la partie diffusion de l'image, s'ils sont d'accord bien sûr, sinon j'assumerai seul. Je pense notamment au frère Rémy [ ] de Toulouse natif de st-Brieuc et qui suit depuis de longues années notre mission briochine, soucieux qu'elle réussisse. Et puis Daniel R. et Bernard L. qui apprécient mon travail et reconnaissent facilement mon style ou ma signature. Donc, s'ils sont d'accord, c'est à eux qu'il faudra demander le fichier.
Pourquoi cette organisation ? Parce que je suis seul pour tout faire. Danielle aurait été là, elle se serait faite une joie que de s'occuper de répondre au téléphone et de gérer les envois.
Autre projet : Je pense relancer chez moi, dans mon atelier, galerie privée, une série de peintures sur toiles de ce bâton de lumière pour quelques centaines d'euros si des personnes sont intéressées, elles participeront ainsi au financement de ma mission.
Tout seul, j'ai opté pour les priorités : la moisson, le local, l'accueil et l'autofinancement. En fait, j'en suis à l'étape un : "se donner les moyens de sa mission".
Petites anecdotes pour finir :
Hier, au local j'ai accueilli un sympathisant Jean-Luc B. qui vient régulièrement pour prendre des tracts et les diffuser autour de lui. Il vient m'aider, je ne sais pas encore s'il le fait par compassion pour moi ou pour l'importance du Message.
Et puis un nouveau est venu Jean Christian V. Je l'ai missionné il y a quinze jours et il m'avait envoyé un SMS. Je lui avais répondu par quelques strophes d'une chansonnette qu'il m'avait inspirée pour aller au Champ, la voici :
Pour les pénitents du temps qui vient : (titre)
Le Créateur incite à la pénitence,
C'est bien plus simple que toutes les croyances.
Car la Vérité, c'est que le monde doit changer.
Dieu n'a rien dit d'autre à Ses messagers.
Tout ça est arrivé en France
Et peu de gens y pensent,
À la pénitence.
Prononcer Ma Parole pour l'accomplir ;
Tout est basé sur le faire et le dire.
Aimer, faire la paix, pardonner,
Être libre de tous préjugés,
Rechercher l'intelligence du cœur,
C'est comme ça qu'on trouvera le bonheur.
Pourquoi attendre plus longtemps ?
Faisons-le, accomplissons dès maintenant.
Il ne faut plus perdre de temps,
Tout peut changer si nous le voulons vraiment.
Plus jamais de chefs, de rois noirs ou blancs.
Retrouvons notre liberté, il est grand temps !
Le monde peut redevenir beau.
Vive peut rejaillir l'Eau !
À nous de relever nos manches.
Nous avons du pain sur la planche ;
Mais ça peut aussi être tous les jours dimanche…
Car dans la joie et la fête,
Nous récréerons la planète,
Même s'il faut des générations
Pour réveiller les nations.
Contre la guerre et la peur,
Viendront la félicité et le bonheur,
Car la Source du Bien, c'est le Créateur.
Redonner un sens à sa vie
Et ce sera tous les jours vendredi.
Si nous devenons pénitents,
C'est encore facile ici et maintenant -
Dieu fait de nous des prophètes,
Heureux de vivre dans la joie et la fête.
Qu'attendons-nous pour changer ?
Il n'est jamais trop tard pour commencer.
Changer en Bien, vivre heureux,
Il n'y a rien de mieux
Sur notre belle planète bleue. (refrain).
Si ça peut inspirer les sœurs et frères créatifs, poètes, chanteurs, musiciens et comédiens…
Fin.
Thierry [ ] de Bretagne-Nord.
Réponse [du frère Michel Potay] :
Merci, mon frère Thierry, pour ce commentaire, qui m'apprend beaucoup de choses et qui, pour commencer, m'apprend que vous avez créé sur l'Internet, en 2005, un blog d'où provient l'image que j'ai trouvée sur ma page facebook et affichée sur le présent blog. Je suis allé sur votre blog où vous parlez à vos visiteurs par images de votre cru ; je reste admiratif, bouche bée, les bras ballants, devant votre talent.
Dans mon blog je parle et mes commentateurs parlent par le texte. L'esthétique, quand il y en a une, n'est pas visible au premier coup d'œil. Il faut lire. Il y a certes des images par-ci par-là mais ce sont des illustrations. Vous, vous parlez par l'image et, quand il y a un peu de texte, il se trouve dans l'image, le texte est image lui-même. Seuls vos commentateurs semblent réduits au texte. Pour moi, la différence entre texte et image, c'est que l'image n'est pas tant faite pour résonner dans le cerveau et dans le cœur que pour être spectacle. Il y a dans une image, surtout une belle image, une fête qu'il n'y a pas dans un texte, à moins de le chanter comme la chansonnette que vous proposez. Les performances esthétiques des images sont mesurées à l'aune de leur battage, que provoquent le dessin, la couleur, le plaisir de l'œil.
Par contre, l'image ne peut pas exprimer des profondeurs spirituelles comme un texte le peut. Chacun, texte ou image, est aimé pour ce qu'il donne. L'un ne remplace pas l'autre ; ils sont complémentaires. Il est toujours difficile de savoir si l'émotion — à la source de la foi il n'y a pas que la Parole, il y a très souvent l'émotion — siège dans l'homme ou si elle ne fait que le traverser. Depuis l'antiquité cette question revient sans cesse. Platon et Aristote donnaient à l'émotion une valeur profondément humaine, ontologique, tandis que les Stoïques la voyaient plutôt comme une perturbation intérieure faussant la raison. Pour les premiers penseurs chrétiens l'émotion était, de même, plutôt un trouble qu'une bonne façon d'aborder la Vérité ; ils pensaient que Dieu n'avait pas créé l'homme pour être émotif ou passionné, mais pour être impassible, raisonnable. Personnellement, je pense que l'homme est tout à la fois émotif et raisonnable et qu'il faut donc des images et des textes et même de la musique. Je crois qu'en fait la foi ne vient ni spécialement de l'un ni spécialement de l'autre ; je crois que la foi est comme l'image et ressemblance (Genèse 1/26) du Créateur innée en l'homme et qu'elle ne se réveille [que] de mille façons. L'image et le texte ne font qu'aider ce réveil.
Merci pour votre commentaire, mon frère Thierry.
Écrit par : [le [blogueur avec une réponse de] Michel Potay | 17/02/2020
Bonjour Thierry, c'est Frédéric M. dit Madal. Ce petit message vous est destiné afin de vous prévenir que je me suis permis de vous citer sur la chaine youtube d'éric D. au 2/11 de l'autopsie d'un prophète vivant. Bonne continuation à vous et fraternellement vôtre dans l'accomplissement du Bien proposé par le Créateur de l'Univers.
Écrit par : Frédéric Mulon | 18/02/2020
Bonjour Frédéric.
Je suis heureux de savoir que vous faites ici signe de vie. Je me demandais un peu ce que vous deveniez vous et Eric.
J'écoute et réécoute ce soir, votre vidéo 2/11, mais je ne vois pas où vous me citez. Vous parlez de Tony, mais je ne suis pas Tony, je suis Thierry.
Autre point : je ne connaissais pas la chaine youtube d'Eric. J'ai écouté toutes vos vidéos sur ma tablette cet après-midi en faisant du carrelage dans un autre lieu. Je ne pensais pas que vous en vouliez autant au prophète. Cela m'attriste…
Pourquoi autant de rancœur ou rancune ? Vous avez tous les deux du talent. Mettez-le au service du Bien. Le prophète fait tout ce qu'il peut pour constituer un petit reste de pénitents avant sa disparition charnelle. Ne vous arrêtez pas à toutes les misères ou quiproquos qu'on a pu vous faire subir. Pardonnez et oubliez. Je vous aime bien mes frères. Je n'ai jamais oublié Eric avec qui, dans les années 2000, j'avais collaboré en échangeant quelques images. Nous avions fait un CD ensemble pour des suggestions de couvertures de La Révélation d'Arès. et j'ai été heureux de le croiser cet été à la sortie de la prière, je l'avais à peine reconnu. Vous Frédéric, je vous ai vu plusieurs fois au pèlerinage mais je n'avais encore jamais échangé avec vous. J'avais été très touché en aout 2018, où vous aviez pris dans vos bras ma bien-aimée épouse un mois avant qu'elle ne rejoigne les étoiles. Je garde une belle image de vous deux, mes frères.
Je vous serre sur mon cœur très fort tous les deux et bien le bonjour à vos épouses et enfants !
Je vous incite à rajouter cette magnifique prière à votre prière du matin que vient de formuler Mikal à notre frère Antoine, ce 18 fevrier2020 en 215C95 :
"Dans le silence du matin naissant, je veux ce jour encore avoir la paix, la sagesse et la force.
Je veux aujourd'hui plus qu'hier regarder le monde avec des yeux pleins d'amour ; être patient, compréhensif, doux et sage ; je veux voir les Enfants du Père au-delà des apparences, comme Il les voit Lui-même, et ainsi, ne voir que le bien en chacun. Je ferme mes oreilles à toute calomnie, je garde ma langue de toute malveillance et que seules je laisserai en mon esprit les pensées qui bénissent. Que je sois si bienveillant et si joyeux que tous ceux qui m'approchent sentent en moi la Puissance et la présence du Père. Je me vêtirai de Sa Beauté et tout le long du jour je révèlerai la Vie au monde."
Écrit par : Thierry | 18/02/2020
J'ai pu lire votre message et je vous en remercie. Si cela ne vous met pas en porte-à-faux avec le Potay ou certains membres de son mouvement dont vous êtes, je crois, je souhaiterais le publier derrière le commentaire que j'ai affiché en 2/11 à votre intention. Je formule ce souhait car je pense que votre réponse peut contribuer à un éclaircissement ; elle peut témoigner que nous sommes en conflit qu'avec les menteurs et les manipulateurs et non avec ceux qui cherchent à avancer dans la voie du Bien (le Bien qui, pour moi, rentre dans le cadre de la responsabilité).
Sinon je vous avoue ne pas bien comprendre pourquoi vous nous exhortez de « mettre notre talent au service du Bien ». Ne pensez-vous pas que nous considérons, Éric et moi, que c'est ce que nous faisons ? Cet aspect du Bien ne rentre-t-il pas dans vos considérations ? N'existerait-il, à vos yeux, que le Bien selon Potay ?
Nous pratiquons effectivement le pardon mais nous n'oublions pas pour autant. Et, aujourd'hui, Éric et moi avons fait le choix de ne plus ni supporter ni cautionner les mensonges d'un homme qui devrait être l'honneur du Créateur. Si vous êtes convaincu qu'il représente cet honneur, grand bien vous fasse de poursuivre sur le chemin que vous indique ce bonhomme.
Personnellement, si vous ne cherchez pas à imposer le choix que vous faîtes (en toute conscience, j'espère) et à tromper les autres sur la vraie nature de vos agissements, alors vous ne me trouverez pas au travers de votre route.
Je suis heureux d'apprendre que vous aviez collaboré avec Éric et que vous en gardiez un bon souvenir ; j'ai quotidiennement le plaisir de créer et d'avancer avec lui. Votre collaboration passée expliquera sûrement le sujet que je soulève en 2/11 de « l'autopsie ». Peut-être pourrez-vous y apporter vos lumières !?
Je souhaite de toute mon âme que votre bien-aimée épouse ait pu trouver son étoile.
Avec vous, fraternellement, dans l'accomplissement du Bien proposé par le Créateur de l'Univers.
Écrit par : Frédéric Mulon | 19/02/2020
Bonjour Frédéric.
J'ai vu ce matin, avant de partir travailler, que vous aviez posté un commentaire sur mon blog. Je viens de lire en 2/11 sous le film. Désolé mais lorsque je vais habituellement sur Youtube, je regarde des vidéos mais je ne pense jamais à lire les commentaires. C'est pour cela que je ne comprenais pas votre précédent message. Merci de m'avoir fait comprendre l'importance de vos textes sous les images.
Je commence vraiment à comprendre… En fait, vous dénigrez lourdement le frère Michel. Vous en voulez à quasiment tous les pèlerins d'Arès et même ceux qui s'efforcent de créer quelque chose. Alors, c'est sûr, nous allons arrêter là la conversation naissante qui risque de devenir stérile pour le bien du monde.
Le Bien c'est simple, c'est devenir pénitent : S'EFFORCER d'aimer, pardonner, faire la paix, n'avoir aucun préjugé ni pouvoir sur les autres, retrouver l'intelligence du cœur, en toutes circonstances. En lisant quelques commentaires au-dessous de vos vidéos, je viens de me faire une opinion : ces deux frères sont entrain de scier La Branche sur Laquelle ils sont assis !!! Je ne peux que vous mettre en garde. J'en ai vu des contradicteurs, des haineux en 25 ans. Je peux vous dire qu'ils finissent tous par disparaître plus ou moins rapidement selon leur degré de virulence ou de perversité s'ils ne renoncent pas dans un éclair de lucidité à leur œuvre funeste. Ils se rechoppent au passage tout le mal qu'ils avaient abandonné au début de leur pénitence (Mes frères, sauvez-vous avant qu'il ne soit trop tard ! Relisez la veillée 26 et ce que dit Jésus :
(26/1) J'ai dit : sauf le petit reste, la multitude ne te suivra pas. Elle s'écriera d'abord : « La route que tu montres est la vraie ! » Car faciles sont les premiers repentirs, exaltants les préparatifs du long voyage jusqu'à Mes Hauteurs.
(26/2) Mais le tentateur se glissera derrière toi ; la nuit qui précède le départ à l'heure où les cœurs s'angoissent il frappe aux portes ; il entre et dit : « Suivre cet homme pour une escalade sans rétribution est folie ! » etc. (innombrables références dans toute La Révélation d'Arès).
Puis Le Créateur dit à Mikal :
XXXIII
1 : J'entre un fouet dans ta bouche, Ma Main à ton sein (fait) un mur.
2 : Le fer dans ton sein (entre comme) dans Ma Main.
3 : Mikal monte (dans) la patience ; Je serre l'artère, les ennemis (s'en) vont morts, l'heure et l'heure.
4 : La gorge sur ton bougon passe l'épaule ; la gorge (qui re)mâche ta langue lace la tille (autour d'elle) ; il pue ce matin.
5 : Il prend ton genou, (il) pleure, Je (lui) prête Ma Voix.
6 : La langue (qui) entre dans la gorge mange avec la bête.
7 : La montagne sur ta barbe (et celle qui) dort avant ta porte, tu vas entre (elles comme entre) les poupes!
8 : Il lit la sèbe, le nuage, la faim ment (à) son ventre, bannis(-le) !
9 : Ton œil va dans la Lumière, Ma Main tire ta langue (comme) le rollet, le frère (y) lit le vrai.
10 : Le frère, envoie(-le) dire (Ce Que Je dis) !
11 : Le Bien (re)tourne dans le frère.
Ma bien aimée épouse dirait une chose encore plus simple et explicite : Ha ! Encore un qui se croit plus balèze que le prophète.
Voilà mes frères. Nous allons en rester là si vous ne changez pas de direction.
Et pour finir, je ne vous autorise pas à copier quoi que ce soit de ce blog. Je refuse de participer de près ou de loin à vos tentatives de dénigrement ou autres fanfaronnades. Mais pour l'Amour de Dieu, sauvez-vous pendant qu'il en est encore temps ! Faites le Bien avec ou sans Arès. Arrêtez de critiquer, salir ou médire et travailler à des belles choses de la vie. Il y a tellement de travail, moi, pour ma part, je n'arrête pas de penser et de construire, à mon petit niveau, une minuscule parcelle du monde changé.(28/7)
N'oubliez jamais mes frères artistes : La beauté est servante du Bien (12/3). Devenez des "Paul". Paul de Tarse qui tuait les Chrétiens et qui finit par comprendre sa connerie en devenant un super moissonneur ! Regardez, Dieu a de l'humour… Dans vos commentateurs, vous avez réussi à piquer la curiosité de Henri Bosquet qui a commandé La Révélation d'Arès. Ça c'est superbe !
Voilà mes frères je n'aurai plus d'autre temps à vous consacrer si vous ne changez pas mais je tenais à m'exprimer le plus clairement possible ici.
Bien à vous deux.
Je vous embrasse très fort. Je prie avec vous. Et aussi avec vous, au Champ, à la moisson, à l'établi, en pénitence. Je ne vous en veux pas, je vous aime.
Thierry.
Écrit par : Thierry | 20/02/2020
Monsieur Thierry, sérieusement, Éric a passé 30 ans dans votre mouvement et moi 20 ans, croyez-vous une seule seconde que nous ne connaissons pas la Parole, dont nous nous nourrissons et qui participe chaque jour à construire le squelette de notre intelligence du cœur comme celle de l'esprit, pour que vous veniez me faire votre récitation de bonne élève de la classe de MonSeigneur Potay ?
Je connais malheureusement votre discours (dont vous ne réalisez pas à quel point il est sectaire) sur le bout des doigts tant je l'ai entendu maintes et maintes fois. Rien de nouveau sous le soleil !
Vous donnez la très désagréable impression de n'être capable que de réciter sagement votre leçon bien apprise comme une bande magnétique que vous déroulez sans fin sans jamais en être fatigué. Pourtant c'est d'un ennui mortel et c'est pour cette raison, entre autres, que votre mouvement sectaire se meurt à petit feu sans que vous ne réagissiez ou que vous n'en soyez alertés. Passons.
Je ne suis pas rentré en contact avec vous pour avoir une conversation, car justement je savais à quoi m'attendre (il n'y a jamais d'agréable surprise dans votre letmotiv qui sent le renfermé comme les vieilles bibliothèques où plus personne n'ouvre les livres), tant vous êtes enfermés dans vos citadelles. Donc le sujet, si vous aviez pris la peine de lire attentivement ce que je vous ai écris et que vous étiez sorti de votre tunnel, était : Primo, de vous prévenir que je vous avais cité dans l'un de mes commentaires (mais je vois, toujours sans surprise, que je ne pourrai pas bénéficier de vos lumières). Et, secundo, si je pouvais publier nos échanges afin de montrer notre bonne foi de ne pas être en conflit avec les hommes de Bien. Mais, maintenant et à la suite de votre réponse, je vais réfléchir à savoir comment je vais pouvoir démontrer ce que représente l'enfermement arésien dont vous venez de me prouver être un parfait exemple (et cela que j'obtienne ou non votre bénédiction). Pour finir, nous ne nous sentons pas « plus balèze » que votre prophète, mais, contrairement à lui, nous ne détruisons pas des vies en se faisant passer pour des hommes de Bien et nous n'acceptons pas non plus qu'un homme, d'autant plus garant de la Parole et appelé à être l'honneur de Dieu, puisse nous mentir à la face en pensant qu'il bénéficie d'une totale immunité délivrée par Dieu le tout Puissant.
Je ne sais pas ce que vous me baragouinez en me jetant à la face que vous n'avez pas de temps à me consacrer ; vous en ai-je réclamé ? Je n'en donne pas moi-même aux esprits fermés (tu ne jettera pas tes perles aux pourceaux) et c'est vous qui osez me parler de stérilité ? C'est à mourir de tristesse tant vous n'avez rien à dire. Arrêtez donc de faire des projections déplacées sous vos faux airs d'humilité, pour qui vous prenez-vous à la fin, bande de donneurs de leçon ?
Je ne suis pas issu d'une religion et je n'ai pas signé pour faire partie d'une église qui se donne des airs de bonté et d'amour qui sonnent plutôt comme le refrain connu et reconnu de l'hypocrisie dont les hommes férus de liberté veulent se libérer depuis les siècles et les siècles. Et vous, avec vos tronches d'icônes d'apôtres enfarinés, vous venez remettre le couvert et vous pensez qu'on va bouffer votre bouillie indigeste sans chercher à la recracher à un moment ou à un autre ?
Sachez que je ne reste uniquement avec vous que dans la voie du Bien proposé par le Créateur de L'Univers et non celui instauré par Mr Potay que vous vénéré. Vous n'avez même pas été capable de percevoir cela et d'avoir la finesse d'esprit et la maturité apostolique de faire alliance fraternelle avec moi. Et Pourquoi cela ? Parce vous êtes sectaire tout en vous défendant de l'être. C'est du déjà vu, revu et pas encore corrigé.
Je combattrai jusqu'à mon dernier souffle toutes les formes de vénérations qui rendent les hommes aveugles et potentiellement dangereux (sans qu'ils ne s'en rendent compte). À mes yeux, vous faîtes partie de ces gens-là et je ne désire pas pour moi, ma famille et mes enfants, laisser des gens comme vous prendre un pouvoir quelconque, à petite ou grande échelle. Vous êtes incapables de communiquer humainement sans chercher à ramener vos dogmes dont vous vous défendez bien aussi qu'ils en soient. C'est, à mes yeux, le comble du mensonge et de la manipulation.
Asta la Vista Monsieur l'apôtre !
Écrit par : Frédéric Mulon | 21/02/2020
Bon, voilà. Nous allons en rester là mes frères Frédéric et Eric. Je bloque votre IP. Une ultime fois, je vous dis : cessez de faire le mal, ne vous perdez pas et changez votre vie en Bien actif. Bref, sauvez-vous pendant qu'il en est encore temps ! Je vous pardonne.
Bien à vous deux et à vos familles.
Écrit par : Thierry | 21/02/2020
Mon bien aimé frère Thierry
Je tenais à te remercier d'avoir adapté ta peinture" Le Bâton de lumière" à une dimension qui nous permette de la mettre en vitrine le moment venu.
Notre frère Bernard L. a eu la gentillesse de me l'adresser.
Bravo pour cette belle réalisation au service du Père.
Avec mes amtiés !
Écrit par : Claude BARTA | 15/03/2020
Bonjour Claude.
Je te remercie beaucoup pour ces quelques mots qui me font du bien. J’en profite aussi pour remercier mon frère Bernlouby qui a accepté de s’occuper de la diffusion ainsi que Rémy O et Daniel R.
Devenons de grands pénitents pour combattre les fléaux qui viennent tels que ce coronavirus et montrer ainsi à l’humanité, la Vie et la Voie vers les Hauteurs saintes qui passent par les sentiers chevriers pour que d’autres hommes les empruntent à leur tour pour aller encore plus loin que nous dans l’amour du prochain.
Merci Claude pour ton amour si fraternel, mon frère.
Écrit par : Thierry | 15/03/2020